Ce n'était pas vraiment de l'amour, finalement.

Je me suis quasiment perdue deux fois sur mon Specialized S-Works Amira cette semaine.  Ce n'est pas tellement grave, mais il fait noir de plus en plus tôt à ce temps-ci de l'année, et ces deux fois-là, je suis revenue à mon appartement à la noirceur, toute dégueulasse, ayant un peu soif, mais très contente.  (C'est ça que ça fait, des bonnes rides en vélo.)  Mais c'est quand même le temps pour sortir mes lumières de bike...

Depuis mon retour de l'Europe en début du mois d'aout, je n'ai pas acheté du café "régulier".  Ma machine à espresso n'a pas été allumée une seule fois.  C'est parce que quand j'étais là-bas (en Europe), je suis tombée en amour avec du café instantané.  C'est vrai.  Je niaise pas.

Alors, j'ai continué à en boire chez nous au Québec.  Mais là, on dirait que je me suis rendue compte que ce n'était pas vraiment de l'amour que j'avais pour le café instantané, mais plutôt une engouement.   Car maintenant, j'en suis tannée.  J'ai le droit de l'être- je crois en tout cas.

Demain on est samedi, et je sacre mon camp, comme à toutes les fins de semaine.  J'embarquerai de nouveau sur la 40E pour aller rouler dans le Parc de la Mauricie, et peut-être que je passerai le reste de ma fin de semaine au paradis, à Québec.  On verra.  MAIS, ce qui est certain, c'est que je vais arrêter prendre un BON, VRAI café au Café Morgane (je ne sais pas encore lequel ou lesquels) à Trois-Rivières au moins deux fois avant de recommencer une autre semaine de travail mardi prochain.